La préparation de notre Voyage

Les préparatifs d’Abhaya : une longue histoire …

Les préparatifs du voyage

Etre prêts dans sa tête et dans son cœur …

Lorsque notre projet  à vraiment pris forme dans nos esprits, nous avons pris conscience du chemin qui restait à parcourir pour lui donner vie.

En parler à nos enfants et à nos proches pour recueillir leur assentiment fut notre premier réflexe.

S’assurer que tous étaient prêts à ce que nous partions pendant un an : plus de maman disponible pour conseiller et consoler, plus de Padre avec lequel faire des tours de circuit ou partager un repas à la Méduse …

S’assurer que l’autre sens était vrai également, nous sentions nous capables de sortir de notre zone de confort.

Ne plus pouvoir répondre à « j’ai oublié de te prévenir maman, je suis dans un co- voit, j’arrive dans un quart d’heure », par « pas de problème mon chéri, je te prépare un bon repas » ou d’entendre la sonnette et de voir avec joie les enfants s’inviter à un dîner improvisé.

S’assurer également qu’en cas de gros problème des êtres qui nous sont chers, nous pourrions être là vite et faire face.

S’assurer surtout que nous étions prêts en tant que couple à partager tous les deux l’Aventure en comptant l’un sur l’autre.

Développer ses compétences distinctives …

Mon capitaine est un marin et un régatier aguerri …

La Cotinière et le petit sauvageon sautant de bateau de pêche, en bateau de pêche, puis le jeune homme achetant son premier Mortrident, Gilles et la mer, c’est histoire d’amour depuis de longues années.

Moi, mon père me disait petite, « ma fille fait des études, sinon je ne sais pas ce que l’on fera de toi »!

Le sens de la technique et celui de l’orientation me sont inconnus !

Alors vaille que vaille, chacun a particpé.

Le capitaine s’est lancé dans les éléments techniques (voir les secrets d’Abhaya). Moi, j’ai choisi l’avitaillement : 50 conserves à manger, en cas de gros temps.

Puis, il a fallu développer des compétences supplémentaires : la plongée pour le capitaine, la montée au mât pour moi. Ce qui est en bas est en haut … pour les avertis.

 

 

 

 

S’adapter encore et toujours …

A force d’oublier  « Gloire au travail » et de penser qu’une année sabbatique était une chose simple, le travail nous a rattrapé.

Savoir partir, c’est aussi savoir revenir, dans de bonnes conditions !

Alors 3 semaines de stress intense, mais aussi la validité du soutien et de l’aide de l’entourage professionnel ont permis de sortir de ce mauvais pas.

Face à l’engrenage infernal de l’administration, on ne peut sortir du cauchemar kafkaïen qu’avec l’appui, les conseils avisés des personnes compétentes. Alors merci à Marlène, Jean Marc et Jeanne de m’avoir permis de partir, pour mieux revenir.

S’entourer des meilleurs …

Préparer le voyage, c’est aussi pouvoir compter sur les autres.

Pierre pour l’organisation, Laurence et Didier pour la maison,  Gabriel et Elsa  pour la pêche, Louis et Nicole pour le repérage Google Map, Metrie, Henry  et consort pour les conseils de navigation, Delphine pour la pharmacie, Jeanne, Sarah, Flo, Cécile et Flo pour les conseils et le soutien et tous les autres amis qui nous ont aidés à préparer la route, à nous sentir rassurés de vous laisser un an.

Soyez-en tous remerciés.

Comments (2)

  • Ben says:

    Excellent! J’imagine mal le parrain monter tt en haut du mat !!!

    • ROSELYNE NIEL says:

      Oui mais moi les aspects techniques, je n’imagine pas non plus !

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